Jean Claude Gianadda à Amettes
En ce vendredi 2 octobre, il sera à Amettes, patrie de St Benoît Labbre
Jean Claude Gianadda à Amettes
En ce vendredi 2 octobre, il sera à Amettes, patrie de St Benoît Labbre où il vient en veillée tous les ans depuis de nombreuses années.
L’église est toujours bondée, toutes générations confondues.
Et ça, c’est le secret de Jean –Claude Gianadda qui fédère autour de lui, pour chanter Dieu, des dévouements extraordinaires.
Qui est Jean Claude Gianadda ?
Il est né en 1944 à Ravières (près d’Auxerre- Yonne).est un auteur-compositeur et interprète chrétien. Ancien Frère des Ecoles Chrétiennes, c’est de là, qu’il tient sa formation théologique et pédagogique.
-En 1970, il obtient d’abord un poste de professeur au collège Saint Bruno à Marseille, Puis, à 32 ans, il est nommé directeur du collège.
- En 1973, le scoutisme l’amène à écrire sa 1ère chanson: «Pour bâtir l’avenir...».
- En 1974: Il enregistre son 1er 45 tours au profit du «Mouvement Eucharistique des Jeunes» et en 1976: ce sera son 1er 33 tours: «Veillée avec Raymond Fau»..»
- En 1977: 2ème 33 tours «Allons crier la nouvelle» (Avec comme musiciens Francis Lalanne et ses frères). Puis ce sera un ou plusieurs enregistrements chaque année. A partir de là. il a composé plus de 800 chansons, et enregistré une centaine de disques.
- En 1994, à 50 ans, il abandonne l’enseignement, pour se lancer uniquement dans cette activité chantée et se consacrer entièrement à cette «Mission d’Eglise».
Vous ne l’avez jamais entendu à la radio ou vu à la télévision. Jamais il n’a fait craquer les cotes des hit-parades. Anti-vedette, il est pourtant un auteur toujours demandé auprès de groupes divers.
Qui ne connait pas ses chansons: «Trouver dans ma vie Ta Présence...», «Chercher avec Toi Marie», «Qu’il est formidable d’aimer», « Rêve d’un monde», «Love», «Magnificat», «Troubadours et baladins...», «La vie continue», «Tout donner», «Jésus me voici devant Toi»...
Il restera très marqué par ses rencontres avec l’Abbé Pierre, Soeur Emmanuelle, Guy Gilbert et le Père Pédro qu’il aide financièrement avec l’argent de ses veillées pour qu’il puisse continuer à construire des maisons « en dur » à Madagascar.
Avec, aujourd’hui encore, 150 veillées dans l’année et près de 100.000 km, il reste l’infatigable «Troubadour du Bon Dieu».
N’hésitez pas à venir nombreux et nombreuses pour l’écouter, vous ne serez pas déçus.
Béatrice Henry