LES MARIES DE L'AN 2015
Après un premier groupe le 1er février 2015, Vingt et un couples sont présents ce dimanche 15 mars 2015 à la salle paroissiale de Beaumetz-les-Loges, avec eux quatre couples accompagnateurs.
Vingt et un couples sont présents ce dimanche 15 mars 2015 à la salle paroissiale de Beaumetz-les- Loges, avec eux quatre couples accompagnateurs.
rencontres du 15 mars 2015
Ces couples ont préparé la journée, un accueil café, jus de fruits, puis par table de cinq couples, temps de partage et d’échange sur la vie à deux.Un repas offert par la paroisse, et l’aprèsmidi,
après avoir encore réfléchi, les filles à part et les garçons à part, ils se retrouvent pour écrire leur projet de vie.Un projet que l’abbé va bénir, couple par couple, essayant à chaque fois d’avoir pour chacun une bénédiction personnalisée.
- Question à l’abbé : pourquoi un tel investissement pour ces mariages ?
- Dans l’Église catholique, le sacrement du mariage est celui qui engage le plus les personnes qui le vivent, car s’il y a rupture du sacrement, il y a rupture avec la vie en Église. Or, beaucoup de jeunes couples viennent se marier, ils sont baptisés, ont été catéchisés, mais ils ont oublié l’Église depuis leur profession de foi. Le mariage c’est pour eux, dans l’église et avec le prêtre : par tradition. Or, c’est vraiment autre chose que des photos dans l’église, c’est un homme,
une femme qui se disent leur amour, et qui engagent leur vie, eux-mêmes : chacun par
rapport à l’autre, mais ils demandent à Dieu qu’il donne sa Parole d’être toujours avec
eux. Sacrement donc très important, car il unit deux personnes sous le regard de Dieu.
Ce qui fait que la Parole de Dieu perdure : du moins, je le crois, et de plus je j’espère !
Elle ne peut être remise en cause. Si la Parole de Dieu est changeante : qui peut-on
croire ? Voilà donc un des points qui me font m’engager avec ces jeunes pour les aider à vraiment décider de mettre ou pas Dieu dans leur vie de couple. Après tout on prépare bien son permis de conduire. La vie à deux pour les soixante-dix ans à venir ça mérite d’être préparé.
ABBÉ COQUERELLE
ET LE JOURNAL REGARD EN MARCHE