le Dimanche 27 mars 2011 à 10h 30


Eglise St Vaast de Laventie.

Les paroissiens rassemblés en ce dimanche ont été invités à réfléchir à cette question : " De quoi as tu besoin pour vivre?"

 

Les réponses ont fusé de toutes parts : de pain, de travail, d’argent, mais aussi de rencontres, d’amitié, de paix et d’amour.

Le tableau où on a inscrit les réponses a vite été rempli. Une proposition a fait quand même sourire l'assemblée : quelqu'un a dit qu'on avait aussi besoin de vacances et c'est vrai, il ne fallait pas l'oublier,. C'est important pour chacun de pouvoir s'arrêter. Et oui, à considérer tout ce qui a été proposé, bien des choses nous sont nécessaires pour vivre.

 

Alors arriva parmi nous, une dame vêtue d'une grande robe, d'un voile et portant une cruche sur l'épaule. Manifestement, elle n'était pas de chez nous.  Elle nous a dit s'appeler La Samaritaine. En tournant autour d'un grand puits elle nous a raconté sa rencontre avec le Christ. Elle nous a affirmé que c'était le Messie. Et puis, pleine d'enthousiasme et de joie, elle nous cria :

« Venez avec moi, venez le voir ! Cette rencontre, elle peut changer votre vie à vous aussi ! Allez, venez. ».


En petits groupes, nous sommes allés à Jésus à travers l’évangile de la Samaritaine et  nous avons échangé sur cette eau vive que Jésus nous offre et par laquelle nous n'aurons jamais plus soif. 

Puis nous avons réfléchi et essayé de dire  qui est Jésus pour chacun de nous ?

Il est : Dieu, le Messie, le Sauveur, l’ami, le compagnon, le confident, la source, le chemin, celui qui nous donne confiance, force, paix, celui que j’aimerais découvrir, etc.

Les enfants l’ont dit avec le chant « Merci, Jésus, pour ton eau vive ».

 

C’est une messe autrement, une eucharistie autrement, qui peut changer notre vie, qui nous fait participer, qui nous rend actifs à la manière des 1ers chrétiens.

Des enfants et des adultes ont dit : « j’aime bien, c’est vivant ».

 

Le prochain dimanche ‘Parole en Fête’ aura lieu le 13 novembre. La Samaritaine nous  redit : « Allez, venez ».


Bernard Beaucamp