JL Ragonneau, nouvel aumônier national
Publié le 19.11.2024 sur le site national :
"Le Conseil permanent de la Conférence de évêques de France a nommé le père Jean-Luc Ragonneau, jésuite, aumônier national du CCFD-Terre Solidaire. Il succède au père Bertrand Gournay qui a accompagné le CCFD-Terre Solidaire de 2020 à ce jour.
Ordonné prêtre en 1973 pour le diocèse de Paris, Jean-Luc Ragonneau s’est rapidement investi dans des missions d’aumônerie auprès de la jeunesse, notamment au sein de l’établissement Fénelon Sainte-Marie, puis aux lycées Racine et Condorcet à Paris.
En 1983, dix ans après son ordination, Jean-Luc Ragonneau entre au noviciat de la Compagnie de Jésus à Saint-Didier-au-Mont-d’Or.
Au fil des années, il occupe diverses fonctions, tant en France qu’à l’international.
Son parcours l’amène à des postes variés, marqués par un profond engagement au service des autres. Aumônier du lycée Sainte-Geneviève à Versailles en 1985, aumônier à Saint-Joseph de Tivoli à Bordeaux en 1988, puis directeur du Centre catholique universitaire de Grenoble en 1995, Jean-Luc Ragonneau rejoint en 1997 la communauté d’Oran en Algérie.
En 1998, de retour en France, il s’installe à Montpellier où durant 9 ans, il y occupe les fonctions de conseiller spirituel des patrons chrétiens et aumônier régional du Mouvement des Cadres Chrétiens pour la région Languedoc-Roussillon.
En 2011, Jean-Luc Ragonneau rejoint le séminaire de Bimbo à Bangui en Centrafrique où il accompagne les séminaristes en tant que professeur de spiritualité et père spirituel. A son retour en 2013, il est nommé à Marseille puis de nouveau à Montpellier.
Parallèlement à ces missions, Jean-Luc Ragonneau a assumé des fonctions éditoriales, notamment à la revue Croire aujourd’hui (2007-2010), puis Carnets de familles (2013) autour des Synodes sur la famille. Il a également animé des retraites et assurer des formations dans des Congrégations religieuses en France mais également à Madagascar et au Bénin.
« S’ouvrir à l’international, c’est non seulement donner à l’autre à partir de ce que j’ai et de ma culture, mais aussi recevoir de cet autre ce qu’il a et sa culture, pour un enrichissement mutuel. » (Jean-Luc Ragonneau *)