Livre à paraître sur Frère François Mes
Frère François Mes (1892-1983)
un moine au pinceau d’or
16 x 20 cm – 272 pages – Éditions Petrus a Stella
Parution annoncée pour le 15 décembre 2024
Né à Haarlem (Pays-Bas) en 1892, Jaap Mes suivit une formation artistique. Il entra à l’abbaye d’Oosterhout (monastère refuge des moines de Wisques après les expulsions) en 1917, après sa conversion au catholicisme. Il y reçut le nom de François (de Sales). En 1923 il fut envoyé à Wisques, où les moines français exilés à Oosterhout étaient rentrés en 1920. Sa mission était de décorer l'oratoire. Il est demeuré à Wisques jusqu'à sa mort en 1983, tout en restant moine d'Oosterhout.
Il a laissé, à Wisques et dans ses alentours, ainsi que dans son pays natal, une œuvre considérable et de grande qualité, qui comprend des peintures murales, des peintures de chevalet, des gravures et des dessins. Grâce à quelques expositions,il a connu une certaine notoriété. Héritier des grands maîtres comme Jan Van Eyck et Fra Angelico, mais influencé aussi par quelques artistes contemporains, il a contribué au renouveau de l’art sacré, qui s’est fait jour entre les deux guerres
Ce livre, fruit de la collaboration de l’abbaye Saint-Paul de Wisques et de la Commission d'art sacré du diocèse d'Arras (CDAS), manifeste que l’œuvre réalisée par le Frère François Mes n’intéresse pas seulement son monastère d’adoption, mais aussi des églises des alentours, et sûrement des particuliers, propriétaires d’une œuvre du moine-artiste, sans parler du rayonnement du Frère François dans son pays d’origine, où, en ce moment même, il suscite un regain d’intérêt.
Le point de vue de ce livre n’est pas exclusivement artistique, mais largement spirituel, conformément à l’attachante personnalité du Frère François, excellent moine, qui a parfaitement réussi à intégrer son travail de peintre dans sa vocation monastique.
« Ce monde dans lequel nous vivons a besoin de beauté pour ne pas sombrer dans le désespoir. La beauté, comme la vérité, est ce qui apporte la joie au cœur des hommes, elle est ce fruit précieux qui résiste à l’usure du temps, qui unit les générations et les fait communiquer dans l’admiration. »
(Message de saint Paul VI aux artistes, lors de la clôture du Concile œcuménique Vatican II, le 8 décembre 1965)
« Le concile Vatican II nous a appris à lire les signes des temps. L’un de ces signes, qui nous regarde en ce moment même en grosses lettres, est le suivant : La beauté évangélise. »
(Mgr Salvatore Cordileone, archevêque de San Francisco)
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