Concert de Jean-Claude Gianadda

Gianadda  C’est dans l’église de Saint-Laurent-Blangy qu’a été accueilli Jean-Claude Gianadda, pour une veillée chants et prières.

Les fidèles de la paroisse Sainte-Thérèse étaient venus nombreux participer à cette veillée. Notre chanteur débute par Qu’il est formidable d’aimer, Un ami pour inventer la route, Vienne vienne la colombe, Magnificat. Il nous rappelle que c’est la deuxième fois qu’il vient à Saint-Laurent- Blangy. Puis, il enchaîne avec : Une chanson, Nous construirons des ponts, Mon père. Il a terminé par : Trouver dans ma vie ta présence,Tu es parti en emportant, une lampe allumée, Jésus, me voici devant toi. 

En finale, il a demandé à  Marie Catoire de chanter  aujourd'hui, c’est Marie. Et il l’a accompagnée,  pour la remercier car elle s’est occupée et beaucoup investie avec d’autres personnes pour la réussite de cette veillée. Il a souligné que cette église était comble et chantante et un nouveau rendez-vous est donné pour l’an prochain. 

Le public enchanté a remercié Jean-Claude par un tonnerre d’applaudissements. Mon mari et moi-même avions déjà assisté aux concerts donnés à Bourlon et à Bapaume, et le rendez-vous est donc noté pour l’an prochain ! 

Jean-Claude Gianadda a créé l’association Saint-Bruno avec deux objectifs :
-  Mission d’église : la mission d’un chanteur chrétien est de transmettre l’espérance. 

- Missions humanitaires : distribuer une aide matérielle en France et dans les pays étrangers.

La totalité de l’argent de la vente des CD, des droits d’auteur, des collectes et des dons, est investie dans l’aide humanitaire : Orphelinats du Bénin, de Haïti, du Togo, du Sénégal... Aide au Père Pedro de Madagascar, aide aux sœurs de Notre-Dame de la Salette à Madagascar...

 

Portrait

Jean-Claude Gianadda est né le 8 janvier 1944 à Ravières dans l’Yonne (89)

 Activité : Professeur au collège Saint-Bruno à Marseille

Nommé directeur de ce collège à l’âge de 32 ans

Retraité de l’enseignement à 50 ans Auteur – compositeur – interprète de chansons chrétiennes.

 

 

DENISE HORNETZ

                                                                                               

Article de  Regard  en Marche