Franck Leloir, secrétaire de rédaction
A Bayard Service, a assisté à notre dernière réunion
Ce mercredi 12 août, notre équipe de rédaction est au grand complet ce qui n’était pas arrivé depuis longtemps, puisque le Père Séverin n’était pas libre les fois précédentes, et nous accueillons Franck Leloir, journaliste chez Bayard et responsable de notre secteur.
Chaque année, il a l’habitude de nous rendre visite pour faire le point sur nos articles et nos abonnements. Il a d’ailleurs bien de la patience avec nous quant à la réception de nos articles et surtout pour nos corrections. Comprenez comment se passe l’élaboration des pages locales : chacun apporte ses articles selon les sujets ou l’actualité de notre paroisse ; parfois nous sommes à court d’idées ou au contraire en avons trop. Vous savez que nous travaillons toujours avec six semaines au moins avant la parution du journal dans vos foyers, aussi n’est-il pas facile d’être très actuel. Quand tous les articles sont prêts, nous les envoyons chez Bayard qui, une bonne semaine après, nous envoie un BàT (Bon à Tirer) ; nous devons alors être très réactifs et relire, et éventuellement corriger ce qui ne nous convient pas. Normalement, nous ne devrions que modifier très peu, mais parfois nous demandons à l’assistant d’édition de tout modifier ce qui pourrait nous valoir les foudres de certains, car ils doivent reprendre à zéro et la mise en page n’est pas facile ; il faut respecter un nombre de signes, de photos... Mais l’ambiance à Wambrechies est tout à fait charmante. Si nous corrigeons rapidement dans la journée, nous pouvons espérer recevoir un nouveau BÀT qu’il faut relire à nouveau et corriger dans la foulée. Et vous seriez surpris du nombre d’erreurs que nous constatons encore ! C’est un travail qui est stressant : deux questions nous taraudent : aurons-nous assez de textes ? Et serons-nous dans les temps ? Comme notre inspecteur des impôts, nous avons une date pour envoyer nos articles. Franck est très indulgent avec nous et nous a même félicités d’avoir réussi à rédiger des textes pendant le confinement, pour les trois numéros de mai, juin, juillet-août, nous aussi nous étions en télétravail ! Un autre sujet est venu à l’ordre du jour, celui du nombre d’abonnés qui baisse d’années en années. Nous sommes à moins de 300 ; il faudra penser un jour à fusionner avec un autre secteur : Bapaume ou Croisilles ? La fusion avec Croisilles est impossible, puisqu’ils n’ont pas la même formule : ils ont «Bonnes Nouvelles». Ce bulletin paroissial est un cousin de Regard en Marche : il ne paraît que quatre fois l’an, il est distribué dans toutes boîtes aux lettres et payé exclusivement par la paroisse. Si vous aviez des idées ou si vous trouviez de nouveaux abonnés, le problème pourrait se résoudre ! Souhaitons que notre ReM puisse perdurer !
CHARLINE DUMOULIN
ARTICLE DE REGARD EN MARCHE