Mardi 6 octobre à la Maison diocésaine d’Arras : journée santé pour les prêtre

 

Pour faciliter la venue du plus grand nombre trois lieux de rencontre ont été proposé. Voici le programme proposé et déjà réalisé à Amettes et à Condette.

Excellente ambiance amicale

Ps 132.

« Oh! qu'il est bon, qu'il est doux pour des frères d'habiter ensemble » Ensemble nous avons réfléchi à notre santé et à celles des confrères

 

 

 

Les prêtres du diocèse ont reçu une invitation à participer à l’une des trois journées à Amettes, Condette, ou Arras. Les inscriptions arrivent ; on peut imaginer qu’il y aura une quarantaine de prêtres dans chaque lieu. Notons que si le thème du matin intéresse tout le monde, les questions de l’après-midi concernent davantage les plus âgés, et les doyens soucieux des prêtres de leur doyenné.

Tout est prévu dans chacun des lieux d’accueil.

 

 

Présentation de la journée par René Deleflie : le DLPS, son rôle, ses membres prêtres et médecins, l’assistante sociale., les membres du comité de gestion. Intervention de Hubert Renard, de Mgr Jaeger. Avant le repas, Roland décrit les différents stands de l’après-midi

 

 

Veiller à l’ambiance détendue et conviviale.

 

Ils se présentent et indiquent ce qu’ils font. Ils n’exercent pas la médecine, mais ces sont des mis ayant une grande expérience de contact personnel avec les personnes en difficultés personnelles ou physiques. Ils rencontrent le prêtre chez lui, à l’hôpital ou en maison de retraite. Ils écoutent en toute discrétion ; répondent aux demandes d’information à des inquiétudes. Eventuellement, ils pourraient intervenir dans un lieu pour aborder un sujet particulier, par exemple les symptômes de la maladie d’Alzheimer, l’intérêt de faire une cure

Ils parleront des handicaps sensoriels, la vue, l’ouie et handicaps physiques, difficultés de se déplacer. Ils feront des exercices pratiques, grâce à du matériel.

Des prêtres utilisant des appareils apporteront leur expérience concrète

 

Nicole, assistante sociale, parlera de

L’aide ménagère ; l’aide à domicile, tout ce que la sécurité sociale et les services sociaux mettent à la disposition de ceux qui en ont besoin. Il faut connaître ces services, et ne pas hésiter à demander d’en bénéficier. Nicole précisera les démarches à accomplir et le coût correspondant.

Par ailleurs, il est prudent pour certains de bénéficier d’une alarme afin d’être pris en charge très rapidement après une chute ou un malaise.

 

Lorsqu’on devient dépendant, lorsque les oreilles deviennent paresseuses et les yeux fatigués, on est tenté de se replier, de s’enfermer ; surtout si on n’a plus de responsabilité. « Il n’est pas bon quel l’homme soit seul »

Certains sont présents dans des activités de service, ou voisinage, c’est bien quand c’est possible. Mais il faut aussi garder des liens avec la famille sacerdotale. Nous ferons l’inventaire de ce qui existe : lieux de repas , rencontre régulière un jour par semaine, lieu de détente, informations sur la vie pastorale locale, possibilité de participer directement ou par la prière.

Nous avons sans doute des propositions à faire à ce sujet.

Roland anime cet atelier

 

Nous bénéficions, comme tous les citoyens français, de la sécurité sociale maladie, vieillesse. Cavimac. La plupart d’entre nous sommes affiliés à la Mutuelle Saint Martin. Il est utile de connaître ces organismes qui nous protègent.

C’est l’évêché qui paie les cotisations. Elles sont importantes. Il est normal que nous en connaissions le montant

Le Comité de gestion est composé de 5 prêtres élus. Ils parleront plus particulièrement du fonds d’entraide dont nous pouvons bénéficier lorsque le remboursement de la Sécurité sociale et de la Mutuelle est insuffisant

 

La grande question concernant ces maisons, c’est la difficile décision d’y entrer. La vie change à partir ce moment là ; on a tous tendance à retarder l’échéance. L’expérience montre que l’âge le plus fréquent pour venir est aux alentours de 80 ans. Mais chaque cas est particulier.

Nous aurons des informations sur toutes les 9 maisons du diocèse où il y a des prêtres. Voir l’annuaire page 215.

Martine Deléglise et Nicole Maerten répondront à toutes nos questions personnelles. Des prêtres présents dans l’une ou l’autre maison de retraite décriront leurs conditions de vie : le sentiment de sécurité, le coût, la qualité des soins, nourriture, logement, liberté de sortir, vie de prière, vie conviviale…

 

 

Ces journées santé ont lieu assez rarement, mais elles sont très appréciées

Aidons les prêtres de notre entourage à y participer. Ce sont les personnes qui en ont le plus besoin qui trouvent des raisons pour ne pas venir.

 

Roland Delplanque