Messe d'au revoir de nos soeurs
du Carmel de Fouquières
Sous le signe de l’émotion , des fleurs et des larmes ( les nôtres et celles du ciel…)
Sœur Bernadette évoque et rend grâce pour les 101 ans de présence et le beau chemin de foi parcouru devant une foule nombreuse venue leur rendre un dernier hommage.
« 101 ans de vie de prière, de travail, d’accueil, de Vie, d’accueil de liens, d’intentions, d’attentions, de joies et d’épreuves partagées avec nos frères prêtres et diacres qui savaient compter sur notre contribution par la prière pour les malades, les jeunes, les personnes en difficulté, les divers mouvements et équipes…et aussi pour l’église et le monde.
Notre émotion est intense. Nous sommes dans la peine de vous quitter, mais aujourd’hui nous souhaitons rendre grâce pour le beau chemin parcouru avec vous et nous vous assurons de notre amitié, de notre reconnaissance.
Vous resterez toujours présents dans notre pensée, notre cœur et nos prières.
MERCI à vous tous »
Monseigneur Leborgne , avec beaucoup d’émotion et de regrets, rend grâce pour leur présence dans le béthunois, mais met en garde également à de ne pas céder au « syndrome de la femme de Loth » qui habite trop les catholiques de France. A force de regarder en arrière, ils en deviennent stériles. Cette nostalgie n’est pas chrétienne!
Mieux vaut faire mémoire de ce que le seigneur a fait et rendre grâce pour la fécondité de la consécration de nos sœurs.Aujourd’hui, le Seigneur nous appelle à trouver d’autres chemins avec Lui et donc laissons nous restaurer, renouveler, redresser par l’amour du seigneur.
La chorale qui accompagnera la célébration
La liturgie eucharistique
Les nombreux amis du carmel étaient au rendez-vous et ça faisait chaud au coeur
A la fin de la célébrations, quelques allocutions
Arnaud Willay au nom de Mme la Maire de Fouquières qui remercie nos sœurs pour leur présence aimante et vivifiante à Fouquières et désire garder la mémoire de leur présence en ce lieu.
Marie-Christine Bois au nom des amis de la communauté :
« Aimer c’est tout donner et se donner soi-même ». Nous sœur se sont données à Dieu mais aussi à nous.
Le Carmel était un hâvre de paix, de soutien amical et spirituel, de recueillement, de partage et d’amitié…
Il y a des lieux où souffle l’Esprit et le carmel de Fouquières était l’un d’eux…
Soeur Monique était parmi nous
Et pour clore cet évènement, un repas tiré du sac
Béatrice Henry