Présentation du Seigneur et journée mondiale de la Vie Consacrée.

Présentation du Seigneur, Mais aussi de puis 1997 la journée mondiale de la Vie Consacrée.

 

 

 

La messe a commencé dans cet ordre.

 

  1. Fêtes du Seigneur. 1 : Présentation du Seigneur.

 

  1. Mais aussi de puis 1997 la journée mondiale de la Vie Consacrée.

 

 

 

En 'Église St Martin de Billy -Montigny ce samedi     ont été célébrés deux messes en une.

 

  1. Fêtes du Seigneur. 1 : Présentation du Seigneur.

 

  1. Mais aussi de puis 1997 la journée mondiale de la Vie Consacrée.

 

Des paroissiens de quelques clochers (Se sont déplacés en nombres restreint certes, mais malgré les distances nous étions la pour ces messes combien importante pour nous ainsi que pour les enfants présents.

 

Qui en portant les bougies ont reçu la lumière du monde et voir leurs yeux et leurs coeurs illuminé de cette même lumière cela nous a appris  combien leurs fois avaient encore grandie en eux

 

                             

Fêtes du Seigneur. 1 : Présentation du Seigneur.

 

« Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur. »

 

 

    

 

 

Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes. Dans la foule anonyme du Temple, un vieillard et un tout jeune foyer se retrouvent. Marie serre Jésus dans ses bras et Joseph apporte l’offrande des pauvres : deux jeunes colombes. Siméon, un homme de foi d’amour et d’espérance est envoyé par l’Esprit au-devant du Messie. C’est un homme d’Esprit, pleinement « ajusté » au vouloir de Dieu. Il reçoit l’Enfant Jésus : C’est la nouvelle alliance dans les bras de l’ancienne.

 

Marie et Joseph suivent les exigences du premier testament, mus par l’Esprit Saint. Voilà réalisée la première rencontre de Jésus avec son peuple. Cette rencontre s’effectue dans la Liturgie d’une manière surprenante. Marie porte l’enfant, comme nous portons nos « cierges allumés, » signes de notre Baptême. Jésus est la Lumière du monde. Marie, habitée par l’Esprit Saint, le serre sur son cœur. Il est ce « petit » qu’elle aime plus que tout, qui vient à la rencontre de son Peuple qui attendait la consolation d’Israël. L’Esprit Saint, par l’intermédiaire de Siméon, est donné à son Peuple qui en est transformé, illuminé, à la grande surprise de Marie et de Joseph. Tous sont dans l’émerveillement.

 

 

« Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui. »

 

Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur. Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Siméon, l’enfant au creux du bras, se met à bénir Dieu. L’Esprit, illuminant sa prière, dévoile le destin de l’Enfant et celui de sa Mère. Pour lui-même, le vieillard parle de départ et de paix. Pour l’Enfant, Siméon annonce un destin universel : il sera le salut de tous les peuples. Tous les hommes seront éclairés par la lumière qui émane de cet Enfant. L’irruption de cette lumière tracera une frontière entre l’assentiment et le refus de Dieu. Face à Jésus vrai Dieu et vrai homme, un discernement s’imposera à tout homme à qui se révélera le fond de son cœur, la pente secrète de sa liberté. Le contact avec cet Enfant transforme le vieillard ; « Mes yeux ont vu ton salut. » Ce vieillard, mu par l’Esprit Saint, a découvert le Secret. Quand nous entrons dans l’Église avec notre petit cierge allumé, nous nous souvenons de notre Baptême. Jésus est cette lumière que nous resplendissons. Nous nous réchauffons à sa chaleur, elle illumine notre visage.

 

« Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait, Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole."

 

Car mes yeux ont vu le salut que tu préparais à la face des peuples : lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. » Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction et toi, ton âme sera traversée d’un glaive : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. Un grand étonnement passe dans le regard de Marie, un glaive traversera sa vie ; l’épreuve révélera le fond des cœurs. Le sort de la mère est lié à l’Enfant, le sort de l’épouse est lié à l’Époux. Marie, entre dans les mystères douloureux de Jésus, elle va le chérir plus encore. Elle aime Celui-là qui va l’entraîner avec Lui au salut du monde. Elle est la Mère de Compassion qui le suivra partout, comme l’épouse suit l’Agneau partout où il va. Nous nous sentons si fragile entre le don et le refus, entre l’abandon et l’inquiétude. Nous avons trouvé la lumière pour nos pas et la paix que Dieu nous demande de porter au monde. Gardons et portons l’Enfant Jésus, c’est lui qui nous conduit. Jésus présenté au Temple, ouvre un chemin de libération au monde, il vient nous sauver.

 

Nous demandons la grâce de suivre Jésus et l’aimer.*

 

Un petit lien qui peut vous aider à comprendre où à chercher par vous-même.

 

https://croire.la-croix.com/Definitions/Fetes-religieuses/Chandeleur/Chemin-de-priere-la-presentation-de-Jesus-au-temple

 

PRIÈRES POUR LA FÊTE DE LA PRÉSENTATION

 

 

 

 

 

Cette oraison établit un lien symbolique entre l’humanisation du Fils de Dieu et notre divinisation. Celui qui devient l’un de nous, en revêtant notre chair, l’atteste dans sa présentation au Temple. Nous demandons que nous puissions nous aussi être présentés au Seigneur, en étant, en retour, revêtu d’une âme purifiée.

 

Voir Dieu est en nous le plus profond des désirs, mais nous en percevons tout le péril puisque cette vision nous entraine au-delà de nous-mêmes, de notre condition… Ce désir ne peut se risquer à se formuler et à se réaliser que parce que Lui, en son Fils, est venu à nous, a gravi [en descendant] les étapes de la condition humain.

 

La question pratique, qui nous concerne directement, est bien de savoir ce qu’une âme purifiée signifie. Et là, nous plongeons dans des dimensions extrêmement profondes et mystérieuses de l’homme. S’exprime là le désir extrêmement profond de l’homme, qui le requiert au plus profond de lui-même, au-delà de la conscience qu’il peut avoir de lui-même. Cela peut donner lieu et donne lieu à bien des travers et des excès.

 

Le chemin certain et sûr est celui de Notre Seigneur en son Église. Attachons-nous à Lui et à elle. Nous nous abandonnons à la capacité en Dieu de nous transformer à travers notre cheminement sur terre… Le maître mot en est : l’humilité.

 

Nous nous confions à Lui et nous lui confions aussi tous les religieux dont aujourd’hui c’est la fête. Qu’ils suivent de plus près tous les enseignements de l’Église.

 

Dieu devenant l’un de nous nous appelle à devenir comparables à Lui… nous libérons ainsi notre désir le plus grand.

 

Père Jean-Luc Fabre

 

https://croire.la-croix.com/Definitions/Fetes-religieuses/Chandeleur/Chemin-de-priere-la-presentation-de-Jesus-au-temple

 

 

Journée mondiale de la vie consacrée

 

 

 

 

 

Cette journée mondiale a été initiée par l'Église Catholique en 1997. C'est en effet le Pape de l'époque, Jean-Paul II, qui avait souhaité que soit instituée une journée de remerciements pour la vie consacrée, c'est à dire pour toutes les personnes, prêtres, religieux, religieuses, qui ont donné toute leur vie au Seigneur.

 

Ce même jour nous avons d’ailleurs souhaités une bonne fête à nos religieuses des Filles du Saint Esprit : Monique, Thérèse et Françoise,  ainsi qu’au père Joseph et ses confrères de la Societas Christi.

 

Fête de la présentation au temple

 

Depuis 1997, cette journée est reconduite chaque année et c'est la date du 2 février qui a été retenue car elle est celle où les catholiques du monde entier fêtent la Présentation du Seigneur au temple, c'est à dire le jour où il est en quelque sorte consacré à l'église.

Quelques liens à visiter pour vos recherches :

 

Un site à visiter : eglise.catholique.fr

 

https://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/vivre-sa-foi-a-tous-les-ages/etre-appele-chacun-sa-vocation/journee-de-vie-consacree/

 

https://www.lourdes-france.org/journee-de-la-vie-consacree/

 

MAIS QU’EST-CE QUE LA VIE CONSACRÉE ME DIREZ-VOUS ?

Qu’est-ce que la vie consacrée ?

 

La vie consacrée recoupe des réalités extrêmement diverses, héritage d’une histoire millénaire qui l’a vue s’adapter en permanence aux réalités du monde et de l’Église

 

Contrairement à une idée reçue, la vie consacrée ne se résume pas à la seule vie religieuse. Comme le rappelle le code de droit canonique, la vie consacrée est « la forme de vie stable par laquelle des fidèles (…) se donnent totalement à Dieu aimé par-dessus tout (…) pour la construction de l’Église et le salut du monde » afin de parvenir « à la perfection de la charité dans le service du Royaume de Dieu » (canon 573 § 1).

 

Ainsi que le soulignait Jean-Paul II dans l’exhortation apostolique Vita consecrata, écrite en 1996, deux ans après un Synode des évêques sur le sujet, « le fondement évangélique de la vie consacrée est à chercher dans le rapport spécial que Jésus, au cours de son existence terrestre, établit avec certains de ses disciples, qu’il invita non seulement à accueillir le Royaume de Dieu dans leur vie, mais aussi à mettre leur existence au service de cette cause, en quittant tout et en imitant de près sa forme de vie » (§ 14). Ainsi, les personnes consacrées se distinguent-elles par la profession qu’elles font – via des vœux ou un autre engagement – des conseils évangéliques de chasteté, de pauvreté et d’obéissance.

 

Le pape polonais indiquait aussi que la vie consacrée « n’est pas une réalité isolée et marginale » mais qu’elle « est une partie intégrante de la vie de l’Église » appartenant « de manière intime à sa vie, à sa sainteté et à sa mission » (§ 3). Il ajoutait aussi que, dans l’histoire de l’Église, la vie consacrée a connu de nombreuses formes « mais sans changement de la nature d’un choix qui s’exprime dans le radicalisme du don de soi par amour du Seigneur Jésus ».

 

Quelles en sont les différentes formes  ?

 

Une grande part de la vie consacrée est constituée par la vie religieuse, religieux et religieuses se distinguant par « des vœux publics » et une vie fraternelle en commun (canon 607 § 2). La vie religieuse peut prendre elle-même différentes formes  : monastique et contemplative (bénédictins, cisterciens, chartreux, carmélites…) ou apostolique (dominicains, jésuites, Frères des écoles chrétiennes, ursulines…).

 

Assimilées aux instituts religieux, les sociétés de vie apostolique (Missions étrangères de Paris, communauté Saint-François-Xavier…) se distinguent par le fait que leurs membres, tout en menant une vie fraternelle en commun, n’émettent pas de vœux religieux (canon 731 § 1).

 

Reconnus en 1947 par Pie XII, les instituts séculiers rassemblent des individus qui, sans vie commune, mènent leur vie « dans les conditions ordinaires du monde, seuls ou chacun dans sa famille, ou encore dans un groupe de vie fraternelle » (canon 714). Les membres d’un institut séculier peuvent être des prêtres diocésains (Institut du Prado…) ou des laïcs, hommes ou femmes (Jésus Caritas…) qui, vivant dans le monde, « tendent à la perfection de la charité et s’efforcent de contribuer surtout de l’intérieur à la sanctification du monde » (canon 710). Ils sont liés par des vœux ou une promesse.

 

 Les vierges consacrées représentent quant à elles une des plus anciennes formes de vie consacrée connues dans l’Église, citée dès les écrits de Paul et dans les Actes des Apôtres. Consacrées à Dieu par l’évêque diocésain, auquel elles sont liées, selon un rituel liturgique hérité de longue date, les vierges « épousent mystiquement le Christ Fils de Dieu et sont vouées au service de l’Église » (canon 604 § 1) et font partie de l’ordre des vierges.

 

Y sont souvent assimilées les veuves consacrées, elles aussi connues dès les temps apostoliques, même si elles ne figurent pas comme telles dans le code de droit canonique – mais elles sont citées avec les vierges dans le code des canons des Églises orientales (canon 570). En 1984, Rome a approuvé un rituel spécifique de la consécration des veuves qui, selon les endroits, se rassemblent dans des instituts séculiers (Institut Sainte-Françoise-Romaine) ou des associations de fidèles (Fraternité Notre-Dame de la résurrection).

 

L’Église reconnaît aussi les ermites qui « vouent leur vie à la louange de Dieu et au salut du monde dans un retrait plus strict du monde, dans le silence de la solitude, dans la prière assidue et la pénitence » (canon 603 § 1). L’ermite fait profession publique entre les mains de l’évêque, sous l’autorité duquel il mène sa vie érémitique.

 

Enfin, dans la foulée du concile Vatican II, de nouvelles formes de vie consacrée ont fait leur apparition, notamment au sein des communautés charismatiques qui comptent elles aussi leurs propres consacrés. Leurs statuts sont divers  : s’ils sont souvent membres d’associations de fidèles (consacrés de la communauté de l’Emmanuel, consacrées de la communauté du Chemin-Neuf), une certaine normalisation est à l’œuvre aujourd’hui comme dans le cas de la communauté des Béatitudes. Celle-ci a adopté une nouvelle figure juridique, inédite dans le code de droit canonique mais validée par Rome  : la famille ecclésiale de vie consacrée, à mi-chemin entre l’institut religieux et l’institut séculier, qui rassemble les deux branches de vie consacrée (frères et sœurs, qui font des vœux publics) et la branche laïque (couples et les célibataires consacrés qui ne prononcent pas de vœux).

 

Lexique

 

L’ordre, la congrégation ou l’institut désigne un ensemble d’hommes ou de femmes vivant en commun un idéal de perfection chrétienne à la suite du Christ (sequela Christi).

 

Autrefois, l’ordre désignait plus spécifiquement les mouvements dont les membres prononçaient des vœux de manière solennelle (bénédictins, franciscains, jésuites), à la différence de ceux des congrégations, de création plus récente, qui ne prononçaient que des vœux simples (rédemptoristes, montfortains, assomptionnistes). Le code de droit canonique de 1983 n’a pas repris cette distinction entre vœux solennels et simples et ne parle plus que d’institut religieux. En droit français, une congrégation désigne tout groupe de religieux vivant en communauté, quelle que soit leur religion ou la forme de vie consacrée.

 

La communauté désigne un groupe de consacrés qui, ayant fait profession de vie commune, vivent ensemble dans la même maison. Certains instituts ont aussi pris comme nom le terme générique de communauté.

 

Nicolas Senèze

 

Mais certains vont dire, mais c'est la chandeleur ! Hé bien oui, mais pas que !

 

Allez on va lire tous un peu hé bien oui pas seulement moi, allez au boulot je veux entendre les battements des paupières et des cils.

 

Le 2 février, la Chandeleur  commémore la présentation de Jésus au Temple, quarante jours après sa naissance et sa reconnaissance par Syméon comme "Lumière d'Israël".

 

L'évangéliste Luc nous rapporte la belle prière du vieillard Syméon tenant Jésus entre ses bras : " Mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé à la face de tous les peuples : lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d'Israël ton peuple". A cause de ces paroles, où Jésus est reconnu comme Lumière, cette fête s'appelle aussi la Chandeleur (fête des "chandelles", de la lumière).

 

A l'église, la célébration commence par une bénédiction de cierges et une procession de la lumière.

 

Histoire d'une tradition.

C'est en 472 qu'elle a été associée aux "chandelles" par le Pape Gélase Ier qui, le premier, organisa le 2 février des processions aux flambeaux.

Il aurait offert, aussi, des "oublies" - ou galettes - aux pèlerins. Ainsi serait née la tradition des crêpes.

 

De fait, fortes de quelque 10 000 ans d'histoire, crêpes et galettes n'ont cessé d'être de tous les repas. Simple mélange de farine et d'eau à l'origine, elles sont faciles à réaliser et se prêtent à toutes les variations, qu'elles soient de froment ou de sarrasin rapporté en Occident dans la foulée des croisades.

 

Le Dieu de la lumière

A la maison aussi, nous pouvons célébrer le Christ notre Lumière : un chant (par exemple, Gloire à toi, Jésus Soleil, F 10-65), l'Evangile de la Présentation (Luc 2, 22-40), on allume des cierges, on dit ensemble une prière de louange, puis le Notre Père.

 

A la fin de ce temps de prière, chacun peut se diriger vers la table avec sa petite lumière. Un des parents dit une prière de bénédiction pour le repas avant de partager les traditionnelles crêpes.

 

Vendues toutes prêtes dans les magasins ou fabriquées en direct dans les rues comme on le faisait déjà au XVe siècle, elles ne sont cependant jamais meilleures que lorsqu'on les cuit soi-même. Tout l'art est de les faire sauter dans la poêle que l'on tient d'une main, pendant que, dans l'autre, on serre bien fort une pièce d'or, gage de prospérité pour l'année entière.

 

Vous voyez il n'y a pas que les crêpes Hé oui.

 

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Nous souhaitons remercier le père Joseph pour sa magnifique homélie comme à chaque messe, encore plus pour celle-ci.

 

Qui a pour nous une grande signification, mais aussi les laïcs qui se dévouent corps et âmes encore et toujours pour que tout cela se concrétise et se passe aussi bien, nous remercions aussi l'organiste  (Sandrine) ainsi que la personne de la chorale qui répond toujours présent.

 

 Et nous tenons à souhaités de nouveau une bonne fête à nos religieuses des Filles du Saint Esprit : Monique, Thérèse et Françoise,  ainsi qu’au Père Joseph et ses confrères de la Societas Christi.

dont je mettrais les photos ci-dessous:

 

 

 

 

 Le pigeon - Dove

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous demandons à Marie, Mère de Dieu, de nous faire rayonner la joie de Dieu.

 


 

Je vous salue Marie en polonais 

 

Zdrowaś Maryjo, łaski pełna, Pan z Tobą,
błogosławionaś Ty między niewiastami,
i błogosławiony owoc żywota Twojego, Jezus.
Święta Maryjo, Matko Boża, módl się za nami grzesznymi
teraz i w godzinę śmierci naszej.
Amen

 

 

 

"JE VOUS SALUE MARIE" (Ave Maria) (prière à la Vierge Marie, Mère de Jésus)

 

Je vous salue Marie, pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes,
Et Jésus le fruit de vos entrailles est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Notre Père en polonais 

 

Ojcze nasz, któryś jest w niebie
święć się imię Twoje
przyjdź królestwo Twoje,
bądź wola Twoja, jako w niebie tak i na ziemi.
Chleba naszego powszedniego daj nam dzisiaj
i odpuść nam nasze winy, jako i my odpuszczamy naszym winowajcom.
I nie wódź nas na pokuszenie,
ale nas zbaw ode złego.
Amen

 

NOTRE PERE" (Pater) (prière à Dieu le Père, cette prière est sortie de l'âme de Jésus)


Notre Père,
Qui est aux Cieux,
Que ton nom soit sanctifié,
Que ton règne vienne,
Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour,
Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi,
à ceux qui nous ont offensés,
Et ne nous laisse pas succomber à la tentation
Mais délivre-nous du mal.
Amen.

 

Ci-joints quelques photos de la Messe de la Présentation du Seigneur.

et de la journée mondiale de la Vie Consacrée 2019 de l’Année C.
En L'Église St Martin de Billy - Montigny.

 

 

Le pigeon - Dove

Ci-dessus les trois religieuses des Filles du Saint Esprit de Billy Montigny

 

 

 

Et notre Curé : Père Joseph WACHALA SChr

pour  Societas Christi.

 

 

 

 

Le pigeon - DoveÔ Esprit Saint, Amour du Père et du Fils,
inspirez-moi toujours ce que je dois penser,
ce que je dois dire, comment je dois le dire, ce que je dois taire,
ce que je dois écrire, comment je dois agir,
ce que je dois faire pour procurer votre gloire, le bien des âmes et ma propre sanctification. Amen

 

 

je tiens à signaler que les photos avec enfants sont en accords avec les parents présents le jour de la messe.

 

Article publié par Patrick. Capelle. - Paroisse-Saint- Joseph en Haute Deule

 

 

Article publié par Capelle Patrick - Saint Joseph en Haute Deûle • Publié • 2700 visites