Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur..
Nous sommes tous inviter à marcher vers PAQUES à la suite du Christ.
LE DIMANCHE DES RAMEAUX
ET DE LA PASSION DU SEIGNEUR
Matthieu 21, 1-11 puis Isaïe 50, 4-7 ; Philippiens 2, 6-11 ; Matthieu 26,14 à 27, 66.
LA CELEBRATION DES RAMEAUX
Six jours avant la fête de la Pâque juive, Jésus vient à Jérusalem. La foule l’acclame lors de son entrée dans la ville. Elle a tapissé le sol de manteaux et de rameaux verts, formant comme un chemin royal en son honneur.
C’est en mémoire de ce jour que les catholiques portent des rameaux (de buis, d’olivier, de laurier ou de palmier, selon les régions)
Nous sommes tous inviter à marcher vers PAQUES à la suite du Christ.
La foule nombreuse venue pour la fête apprit que Jésus venait à Jérusalem ; ils prirent les rameaux des palmiers et sortirent à sa rencontre et ils criaient : Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !
Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur
La tradition garde la bénédiction du buis (des rameaux) et la procession qui introduit la liturgie de ce dimanche. Déjà nous avons en tête les célébrations du jeudi saint et du vendredi où nous méditons le repas que le Seigneur nous laisse, sa passion et condamnation, sa mise en croix, mais aussi la nuit de Pâques où il est ressuscité.
La première lecture est un extrait du livre d’Isaïe. Elle a été choisie parce qu’elle semble tracer d’avance le visage du persécuté, la passion qu’a souffert le Christ. Sans doute faut-il aussi se rappeler que, tout au long de l’histoire, nombre d’innocents ont souffert à cause de l’inhumanité des hommes et des sociétés (Il suffit de penser à certaines régions du monde aujourd’hui. Il ne faut pas dissocier le vécu par le Christ, et le vécu de nombre d’hommes, croyants ou non. C’est la même humanité qui souffre et qui est condamnée. En célébrant cette semaine “sainte”, nous voulons associer au Christ les frères humains qui ont porté une part de la vie des humains.